Influenceuse ultra-médiatisée, Maeva Ghennam s’est fait connaître grâce à l’émission Les Marseillais. Mais au-delà de ses apparitions télé, c’est surtout sa transformation physique radicale qui alimente les discussions.
À 24 ans, elle cumule plusieurs interventions. Retour sur ses opérations, ses motivations, les risques encourus, et ses récents regrets.
La première opération de Maeva Ghennam chirurgie esthétique remonte à ses 18 ans, avec une augmentation mammaire. Depuis, la jeune femme a enchaîné les modifications sur différentes zones de son corps :
Rhinoplastie : affinement du nez
Injections d’acide hyaluronique : lèvres
Botox : pommettes
Génioplastie : menton avancé
Blépharoplastie : paupières tombantes
Lipofilling fessier : graisse du ventre vers les fesses
Nymphoplastie : réduction des petites lèvres
La chirurgie esthétique, lorsqu’elle est bien encadrée, peut véritablement améliorer la confiance en soi. Beaucoup de patients, comme Maeva Ghennam, y voient un moyen de mieux s’accepter.
Mais ces actes comportent aussi des risques réels :
Infections, saignements, douleurs post-opératoires
Insatisfaction, asymétrie, complications
Risques psychologiques : obsession, perte de repères
👉 C’est pourquoi chez Medica Tour, nous misons sur l’équilibre et la mesure, en privilégiant des chirurgiens qualifiés et des diagnostics personnalisés.
Malgré son aisance à parler de ses opérations, Maeva Ghennam commence à nuancer son discours.
Elle a exprimé des regrets sur certaines zones, notamment ses fesses, qu’elle juge désormais “trop volumineuses”.
Elle affirme désormais vouloir ralentir, ne faire qu’une injection par an aux lèvres, et surtout conseiller à ses abonnés de ne pas abuser.
Une démarche qui reflète un changement d’image : retour à un physique plus naturel, sans excès.
Le cas de Maeva Ghennam chirurgie esthétique illustre bien les extrêmes possibles… et les réajustements nécessaires.
Chez Medica Tour, notre objectif est d’accompagner des choix réfléchis, des transformations maîtrisées, et des résultats naturels.
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